Samedi 23 mai 6 23 /05 /Mai 20:52

 

L'accord qui régit le rapport entre des partenaires s'engageant dans le jeu BDSM est souvent tacite… La personne qui va se soumettre dit silencieusement à celle qui s'apprête à la dominer qu'elle lui offre sa liberté, et qu'elle le fait de son plein gré, elle va s'assujettir à lui. Il la dominera, fera d'elle ce qu'il voudra. Sans limites ? Certes non… tous deux s'en remettent au bon sens.
Souvent, un couple décidant de s'essayer au BDSM évite soigneusement toute discussion de fond sur les limites et la sécurité pour veiller à ne pas briser une magie, déjà fort fragile au demeurant.


Quant aux safewords… les partenaires qui en ont eu ouï-dire mais sont encore sans expérience dans les pratiques de domination les jugent inadaptés à leur situation, ils disent que c'est pour les pros et beaucoup de pros, justement, se targuent de ne jamais avoir « utilisé » de codes de sécurité…et disent que c'est pour les débutants.
L'erreur est double : tout d'abord es limites sont différentes pour chacun, mais surtout… on n'« utilise » pas un safeword, comme une sorte de collier que l'on sortirait pour mettre en place à chaque moment BDSM, et dont on aurait conscience en permanence. On en convient simplement, une fois pour toutes avec le partenaire, lors d'une discussion qu'il n'est pas forcément nécessaire de renouveler. À partir de là, le mot magique étant défini et établi, ce n'est qu'en cas de besoin – c'est-à-dire exceptionnellement – qu'il pourra être utilisé.


Le safeword est un signal d'urgence du BDSM qui, utilisé par la soumise, indique à son partenaire qu'il doit, immédiatement et sans discussion interrompre l'acte en cours, et la délivrer de ses liens ou de toutes autres contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible.
Le safeword est toujours à considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation et aussi anodine qu'elle puisse paraître aux yeux de celui qui contrôle les événements.


Les partenaires conviennent en général d'un « mot magique » qui sera reconnu en tant que code de sécurité ou encore une codification par couleurs inspirée des feux rouges. Le "mot magique" doit être judicieusement choisi : non usuel, en dehors du vocabulaire courant, donc sans ambigüité possible pour ne pas être prononcé par hasard mais également pas trop complexe pour ne pas que la soumise l'oublie ou se trompe au moment où elle en a besoin.


Lorsqu'on porte un baillon, le meilleur choix semble être le « code du trousseau de clés » : le dominant qui bâillonne sa soumise lui glisse un trousseau de clé dans la main ou n'importe quel objet susceptible de faire du bruit en tombant sur le sol. En cas de détresse (ou par réaction inhérente à un éventuel engourdissement des membres ou une perte de conscience), celle-ci n'a qu'à lâcher l'objet, et le son de sa chute est synonyme de safeword pour appeler à la libération immédiate.



La première idée qui vient à l'esprit en songeant au safeword dans le BDSM est, naturellement, le besoin de faire cesser une douleur qui devient insupportable. Il est absolument primordial pour la personne ayant, de son plein gré, décidé de s'exposer à des tourments corporels, de conserver à disposition un moyen rapide et infaillible de les interrompre. Mais au-delà de cet aspect évident, les jeux de domination comportent de nombreuses activités pouvant entraîner des souffrances ou des risques physiques moins visibles au premier abord ( positions douloureuses, problèmes circulatoires, nausée, malaise, troubles cardiaques, pathologies respiratoires, douleurs d' « accessoires »...)


Il est, bien évidemment, impératif de ne pas céder à la panique. Parmi les causes fréquentes de recours au safeword, on trouve l'engourdissement des membres, qui est un phénomène pouvant entraîner de très dangereuses conséquences, ne serait-ce que par l'affolement qu'il génère… il faut comprendre que les zones engourdies, très vite paralysées et privées de toutes sensations, semblent totalement mortes à leur porteur, comme détachées du corps. Toutes les horreurs passent en tête dans ces moments-là, aussi est-il impératif de rassurer la compagne, tout en la débarrassant de ses entraves le plus prudemment possible.


Une soumise ne prononce pas son safeword sans raison. Les accidents physiques sont possibles, mais également des chocs sur le plan émotionnel qui, pour paraître parfois tout à fait incompréhensibles aux yeux du partenaire, n'en sont pas moins réels. La personne qui se voit forcée d'interrompre le jeu pour une cause d'ordre psychologique – peur, panique, phobie, etc. – sera doublement déçue, honteuse, peut-être, de « n'avoir pas été à la hauteur », ou prise d'un sentiment de ridicule injustifié… le moment n'est alors pas aux reproches, mais à la consolation et au partage : une âme blessée se soigne avec autant d'attention – sinon plus – qu'un corps meurtri.



Dignité, honneur, orgueil et sens du devoir ne sont pas apanages du seul Maître, dans le BDSM : contrairement à ce que l'image commune pourrait laisser croire, la fierté est immense dans la soumission.
La personne qui se fait dominer tend à catalyser et rechercher cette fierté au miroir sans tain des yeux de son partenaire : elle veut s'y voir, elle souhaite qu'il la voit… aussi mettra-t-elle, trop fréquemment et parfois à l'excès, un point d'honneur à ne pas utiliser un safeword susceptible de lui laisser à l'esprit l'âcre sentiment de n'avoir pas été à la hauteur.
Paradoxalement, plus celle qui se soumet éprouve d'amour et de complicité pour celui qui la domine, plus elle s'efforcera à générer ce sentiment mutuel de fierté, repoussant déraisonnablement ses limites pour ne pas avoir à crier le mot redouté, que sur l'instant elle juge synonyme d'indigne… mais quel cadeau est-ce là, qui consiste à se mettre inutilement en danger, à exposer l'être aimé au risque de provoquer un accident qui lui sera imputé, à placer la relation elle-même sous une terrible épée de Damoclès ?




La sécurité est la clé qui permet de s'abandonner au plaisir, et elle ne saurait supporter la coquetterie : allergies, peur du noir ou phobie des araignées, insuffisance respiratoire ou mycose embarrassante, troubles de la vue ou de l'audition, dangereux attrait pour la douleur ou simple peur panique des chatouilles… toutes les faiblesses susceptibles de créer un risque doivent être énoncées avant de s'exposer à l'irréversible.


Celui qui domine a un véritable devoir de l'après. Partager des plaisirs d'adultes ne peut se résumer à jouir, puis fermer les yeux sur les conséquences de la jouissance : il est impératif de s'enquérir du bien-être de celle qui s'est soumise, dans les heures, les jours qui succèdent à ce moment intense passé à deux. Attendre des réponses n'est pas suffisant ; il s'impose de poser les questions, aussi directes et indélicates puissent-elles paraître.
Que ces réponses n'arrivent pas, que la réalité se voit déguisée par la partenaire, et le dominant réitérera des activités destructrices dont il ne soupçonne pas les répercussions.

La soumise, trop à même de dissimuler des symptômes qu'elle seule connaît, détient un terrible pouvoir sur son compagnon de jeu : elle peut pousser celui-ci vers la destruction à petit feu de celle qu'il aime, pour la satisfaction d'un dangereux instinct masochiste personnel qui ne trouvera jamais sa cure dans le BDSM.





Par Frida_Kahlo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 08:57
Beauté, pureté
Don, émotion, création
Façon nippon...
      
La pratique du Shibari remonte loin dans les siècles passés.
C'était, au départ, une technique guerrière nippone dans laquelle les prisonniers étaient attachés de façon rituelle, selon leur crime et leur rang social. Cette technique était, alors considérée comme un art martial, était strictement encadrée et codifiée.
A l'époque, Tokugawa (XV et XVIème siècle), le Code Pénal prévoyait 4 types de "punition" à l'encontre des prisonniers, dont la suspension avec des cordes, baptisée Kinbaku, était la plus grave puisqu'elle pouvait aller jusqu'à la mort.
Les buts étaient de ne pas permettre au prisonnier de se glisser hors de ses liens, ne pas causer de séquelles physiques ou mentales, ne pas divulguer les techniques utilisées et de faire en sorte que le résultat soit agréable à regarder.
C'est d'ailleurs ce dernier point qui a donné naissance à ce qu'on appelle aujourd'hui le Shibari, une pratique érotique consistant à attacher des personnes avec art et raffinement.
A présent le Shibari est avant tout une recherche esthétique, un travail sur le corps, une sculpture à l'aide de cordes...Mais le bondage doit impérativement être sans danger.
Pour cela, il ne faut pas couper la circulation sanguine et s'assurer que la contrainte de la position dans laquelle l'on place le modèle est supportable également dans la durée.
   
La pratique de cette activité doit se faire dans un contexte sûr et fiable, que seul un apprentissage méticuleux permet d'obtenir. Le plus souvent réalisé sur le corps nu, le shibari ne supporte pas la médiocrité et nécessite que le plus grand soin soit apporté à sa réalisation.
Mais attention, le shibari - et le bondage en général - est une pratique dangereuse.
Quand bien même vous aurez prise toutes les précautions, attendez vous toujours au pire, c'est à ce prix que vous pourrez réaliser ce que bon vous plaira, dans le respect de tous les acteurs.
Il faut être à l'écoute de son partenaire, le bondage se pratique à deux en parfaite confiance, complicité et connivence.
Bonnes oeuvres d'Art à vous....





Par Frida_Kahlo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 18 mai 1 18 /05 /Mai 18:06


Oh mestr, aspedi a ran o'ch, feskoc'h din!!!!
Par Frida_Kahlo
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Lundi 18 mai 1 18 /05 /Mai 08:33


Diego est assis sur une chaise et je suis couchée à Ses pieds, tête contre ses jambes, je sens cette douce chaleur qui émane de Lui et qui me remplit de bien-être. Sa main parcourt mes cheveux et me prodigue de douces caresses, je souris. Sa main se fait pressante et je comprend qu'Il désire que je me mette à genoux...je m'exécute.
Ses mains attrapent un bandeau posé à coté et viennent le poser sur mes yeux, elles s'ecartent à nouveau, j'essaie de deviner où elles se dirigent mais aucun bruit ...
Au bout d'un instant je sens alors quelquechose me prodiguer une légère caresse le long du dos
puis la caresse se fait insistante  et je devine alors que Ses mains tissent un lien autour de moi. La corde passe sur mon dos, mes bras, mes seins, et ne cessent de faire des allers retours. 
Je sens les liens se resserrer et me comprimer comme pour me couper le souffle. Les mains de Diego passent alors sous moi et viennent caresser le morceau de mes seins resté apparent. Je frissonne à nouveau, mes tétons pointent et Diego s' empresse de les saisir et de les pincer entre Ses doigts.
Une main saisit alors ma tête et la guide jusque son sexe alors dressé. J'appuie ma tête contre le bas de Son ventre et ma langue se met à Le caresser. 
Sa main est toujours là dans mes cheveux et commence à glisser en direction de mes fesses. Je m'applique à Lui prodiguer mes caresses de ma langue tandis qu'un de Ses doigts s'imitie en moi. La situation me mettant dans un état d'excitation certain, Ses doigts n'ont aucun mal à se frayer un passage.
 Je Le lèche, Le suce, Le pompe, L' honore tandis que Ses doigts changent alors d'orifice pour pénétrer mes fesses. Je sens ce plaisir grandissant et Ses doigts s'imitier de plus en plus , de plus en plus loin. 
Il retire alors votre sexe de ma bouche et se place derriere moi. Sa main restée libre se plait à me fesser tandis que l'autre me fouille . Je suis mouillée de partout, toute ouverte d'excitation et de désir, je sens que mes orifices Le réclament . Je sens alors Sa queue se ballader sur ma croupe et me voilà a remuer des fesses, comme si mon trou chercher à Le gober. Au bout d'un instant enfin je le trouve et je Le sens entrer en moi et m'envahir. Il pose Ses mains sur mes hanches et me prend de toutes Ses forces. Je sens Ses coups claquer en moi comme pour me transpercer, il accélère la cadence et pour mieux m'envahir me saisit par les cheveux. Je me cambre Lui offrant ainsi une meilleure entrée en moi . Ses coups envahissent tout mon corps, je Le sens partout ,
le rythme s'accélére, Son sexe tape à l'interieur de moi. Ses mains quittent mes cheveux et Son sexe mes fesses
me laissant ouverte et vide de Lui. Je L' entend s'éloigner puis Ses pas se rapprochent mais je n'ose bouger et je reste là offerte à Ses desirs. Diego se place de coté, se colle à moi pour me faire sentir Sa raideur, et promener cette queue partout sur le coté de mon corps. Cet effleurement continue de m'exciter et  je sens alors une douce chaleur s'approcher de moi et un liquide chaud dégouliner sur ma nuque, à petite dose. Le contact à la fois doux et brulant amplifie mon désir de plaisir, les gouttes de cire se font ruisseau et coulent tout au long de mon dos 
puis sur le haut de mes fesses comme pour les recouvrir. Pourtant cette délicieuse cire me laisse un gout amer, Diego m'a quittée soudainement et c'est Sa jouissance sur moi ke je desire...C'est  là que Son sexe rentre à nouveau en moi, se frayant un passage dans cet orifice qui se refermait. La cire coule toujours et Ses vas et vients s'intensifient. Je sens que je suis au bord et là Sa main pose cette bougie et cesse de m'arroser de ce doux liquide. Diego pose à nouveau sur mes hanches pour que je puisse mieux Le sentir. Ses coups ne cessent de s'intensifier puis Son sexe se retire de mon corps, me laissant comme un immense vide. Je sens alors Sa jouissance couler sur le bas de mon dos et se mélanger à la cire donnat vie à un délicat nectar. Diego me lache...
je me retourne et viens doucement lécher ce sexe qui m'a tant donné...
Par Frida_Kahlo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 4 mai 1 04 /05 /Mai 18:14


Ce matin je me suis levée, la tête pleine de Toi. J'ai pris mon dejeuner puis je suis allée relever mes mails. Ma boite s'ouvre et laisse apparaitre un mail de Toi. Mon coeur s'emballe, qu'est-ce? qu'y a-t-il? comment va-t-il?...l'anxiété monte en moi, mes mains tremblent, mes doigts cliquent maladroitement pour ouvrir ce mail..."Bonjour Frida, je rentre ce soir et pour fêter ça je t'invite à diner. Fais toi belle pour moi, pas de string et rendez-vous à 19h30 où tu sais." Mail bref mais concis qui m'emplit de joie, je vais le revoir, enfin. Je suis folle de joie et pressée d'être à ce soir.Les jours passés sans Toi et sans séance se font ressentir. Mon corps et mon esprit bouillonnent. Je ne pense qu'à cette soirée, à Toi, à nous...la journée me parait interminable. Le soir arrive enfin, je me pomponne, je veux Te plaire, je veux que Tu me désires, je veux T'honorer....Me voilà prête, sexe à l'air je me hâte de partir. J'arrive à l'endroit convenu dix minutes en avance, me voilà à faire les cent pas tellement l'envie et le désir montent en moi. Je ne cesse de regarder ma montre, chaque minute est une éternité.
Voilà, il est l'heure mais tu n'es toujours pas là...mon imagination se met en marche et des  idées toutes plus farfelues les unes que les autres me traversent l'esprit. Où es tu Diego, pourquoi n'es tu pas là...J'ai l'impression que mon corps ne m'appartient plus, j'ai l'entrejambe humide....je ne controle plus mon esprit...il divague. Au bout d'une demi-heure Te voilà enfin, je suis dans tous mes états, Tu T'arrêtes et me dis de monter avec Toi. Ce soir il y a du changement, Tu m'emmènes ailleurs. Mais où donc, qu'allons nous faire, ne devions nous pas diner?!
Je Te regarde, sourire aux lévres et empressée de savoir ce que Tu me réserves. Tu me regardes à peine et me dis de prendre le bandeau posé là devant et de me le mettre sur les yeux.
Des frissons parcourent tout mon corps, où veux Tu m'emmener, qu'allons nous faire....?
Nous devons rouler une dizaine de minutes, puis le moteur s'arrête. Tu descends, m'ouvres la portière et me prends par la main. De longs et doux frissons remontent le long de mon bras et se répandent dans tout mon corps. Tu me traines, m'entraines avec Toi, je Te suis, silencieuse, anxieuse et impatiente.Des pas, des escaliers, des bruits de clés de porte...où sommes nous..."Voilà nous sommes arrivés, enléve le bandeau. Ce soir on dîne à la maison, Ton Maître a cuisiné pour Sa Chienne." Hum ...me voilà à la fois surprise, heureuse mais anxieuse, que m'a-t-il donc préparé...Tu me demandes alors de m'installer, je pose mes affaires, tire une chaise et m'assois. Tu T'affaires en cuisine, je Te regarde, Tu ne dis rien mais je devine un sourire de coté...je rougis, ne sachant à quelle sauce je vais être manger. "Voilà c'est fini, tout est prêt!" Tu T'approches, me regardes "Je t'ai acheté plein de choses pour nos retrouvailles, tu vas voir, tu vas  aimer!" Je souris mais me demande encore ce que tu me réserves. Tu ne me laches pas des yeux, Tu me scrutes, je baisse la tête, génée..." A quatre pattes Ma chienne!" Mon sang se glace, cette exigence soudaine me met dans tous mes états. Je me léve puis m'installe à quatre pattes juste devant Toi, presque collée à Tes jambes pour pouvoir Te sentir.Je Te sens Te retourner et saisir quelquechose que Tu avais déposé sur la table.Tu Te baisses et déposes devant moi une gamelle copieusement garnie. Tu Te tournes à nouveau et me demandes de baisser la tête.  Je m'éxécutes et me hate de regarder la gamelle entre mes mains, je tremble...Je sens Tes mains sur mon dos puis une sorte de matiere froide glisse le long de ma colonne vertébrale et s'arrête sur mon cou pour l'enserrer."Voilà, tu as ton collier , tu vas pouvoir manger ma chienne.""Merci Diego...."Tu tournes autour de moi pour me regarder, T'approches et laisses Tes mains se ballader sous ma jupe, je sens Tes doigts agiles qui essaient de se faufiler entre mes cuisses et commencent à me caresser puis Tu T'assois juste à coté et commences à diner. Je regarde ma gamelle avec un regard inquisiteur...comment faire pour ne pas en mettre de partout?! et pourquoi s'est-il arrêté... Je m'approche et commence à manger, petit bout par petit bout...Sensation étrange d'être là,mais quel plaisir d'être à Tes pieds, tout prêt de Toi, de T'appartenir, de Te retrouver...Voilà notre repas terminé, je m'en suis pas mal tirée...Tu me demandes alors de me lever et de me déshabiller et voilà que je me retrouve à genoux devant Toi, nue les yeux bandés, mains attachées dans le dos.Tu te tiens là debout planté devant moi le sexe déjà en erection.Tu T' approches,  appuis Ton sexe sur ma bouche qui s'ouvre pour Te recevoir.Je sens Tes petits coups de reins, lents, saccadés.Ma langue s'affaire autour de Ton sexe. Plus ça vient plus Tes va et vients sont profonds et rapides.
Je sens Ta main m'attrapper les cheveux, la cadence s'accélérer .
J'ai le sentiment que Ton sexe ne cesse de gonfler et de m'emplir la bouche ; le voici énorme,Tu me libères les mains, me demandes de me mettre à 4 pattes.Je m'exécute, je sens Tes mains se ballader sur moi 
sur mes cheveux, mes épaules, mon dos,ma croupe et descendre le long de ma raie  puis remonter, et redescendre, ne cessant de m'exiter .
 Me voila à 4  pattes, mouillée, Ta chienne...Tusaisis le rosebud posé à coté et je le sens entrer en moi, me délivrant une onde de plaisir .Tu T'agenouilles devant moi, me relèves la tete et baises à nouveau ma bouche.
Que j'aime T'avoir en moi, Te toucher,Te goutter  mais mon plaisir ne dure pas et Tu Te replaces à nouveau derriere moi. Je sens ma croupe chauffer...Te voilà parti à me fesser ,je sens Tes chaudes mains sur mes fesses 
 claquer et désireuses d'entrer en moi, de pénétrer sous ma peau, ces mains sont à la fois douces et piquantes, sources de plaisir et de douleur... mes fesses chauffent..
Elles doivent avoir bien rougis et être marquées de Ton emprunte, si bien que Tes mains se font caresses 
 à présent. Je sens Ton gland humide se promener sur ma croupe, je le veux, je le desire, entrera t-il....et où...
une claque me ramène à la realité... puis 2 puis 3...voilà un bal de claques sur mes fesses, je gémis... 
plaisir ou souffrance, je ne sais plus...je sens alors Ton sexe entrer en moi et remplir l'endroit qui restait vide; Me voilà pleine de Toi. 
Je Te sens alors taper...taper au plus profond de moi... de puissants et longs va et viens nous procurent un énorme plaisir....j'emet un son qui est aussitot réprimandé par une nouvelle claque...je m'efforce de me retenir, de ne rien dire.. Une de Tes mains attrappe alors mes cheveux et l'autre se saisit du rosebud pour me l'enlever laissant un trou béant que tu T'empresses de remplir. Tu m'as quittée pour mieux me retrouver,mieux me faire sentir que Tu es là. J'ai l'impression que Ton sexe et mes fesses vont exploser à l' unisson.J'ai les bras qui semblent vouloir flancher sous Tes coups de reins...les larmes me montent aux yeux et pourtant je n'ai jamais autant pris de plaisir, je ne T'ai jamais senti aussi présent, aussi profond en moi. Je suis au bord...et je lutte pour résister au plaisir que Tu me donnes...et ce sexe qui n'en finit pas de grossir et de me remplir . Ta main droite descend alors jusqu'à mon sexe et vient le caresser tandis que Tes coups continuent...mon plaisir enfle de tous cotés. J'aimerais me retourner, Te regarder, croiser Ton regard...mais mes yeux bandés m'en empêchent. C'est alors que Ta main vient claquer comme jamais sur ma fesse droite pour me signifier que Ta chienne peut jouir, que Tu souhaites que ce soit là et maintenant ...
 Je me relache alors, me libère de toute contrainte, et nous voilà tous deux à jouir l'un avec l'autre...
Par Frida_Kahlo
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires

Présentation

Recherche

Calendrier

Janvier 2025
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus